
Le calme de la nuit de jeudi à vendredi s’est brisé chez Valérie Trierweiler, alors que la police a dû intervenir pour mettre fin à une violente altercation entre ses deux fils, âgés de 26 et 29 ans. Un choc pour l’ex-première dame.
Le déballage de Valérie Trierweiler dans ’Merci pour ce moment’, le grand succès de la rentrée, est loin d’être guidé par la vengeance, prétend l’intéressée lors d’un entretien avec ’Irish Independant’, relayé dans les colonnes de ’Closer’.
’Plus je progressais dans l’écriture, plus j’avais envie que ce livre soit publié. Il y a un moment où j’aurais pu me rapprocher de lui (François Hollande)’, répond tout d’abord l’ex première dame à une question du journaliste irlandais qui lui demandait s’elle avait songé à arrêter en cours de route l’écriture de ’Merci pour ce moment’, où il est question de ses dix-huit mois à l’Elysée et de sa relation tumultueuse avec François Hollande avec lequel elle a rompu en janvier dernier après plus de 8 ans de vie commune.
’Mais j’ai voulu continuer coûte que coûte afin que notre rupture soit nette et définie’, précise-t-elle.
Valérie Trierweiler refuse cependant de parler de vengeance.
’Non parce que l’histoire ne se termine pas comme ça. Ce n’est pas parce qu’une personne vous quitte que vous cessez immédiatement d’avoir des sentiments pour lui’, poursuit-elle.
’Ce n’est pas une vengeance. Et j’ai été blessée par les médias qui m’ont dépeinte comme une briseuse de ménage’, indique la journaliste de ’Paris Match’.
’J’ai voulu dire ma vérité, mon histoire, même si cela n’avait pas été facile pour lui d’entendre ce que j’avais à dire. La vérité n’est jamais facile à entendre, et je ne m’épargne pas non plus dans le livre’, a-t-elle par ailleurs rappelé.
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