« certains aiment le côté solennel et glam d’un tapis rouge ou d’un photocall. Pas lui, quand Johnny se rend au Glastonbury Festival pour la projection de The Libertine (sorti en 2004, dans lequel il jouait un poète débauché du XVIIème siècle), il pose clope au bec, en vieux jean troué, assis sur le capot d’une Cadillac vintage, Grunge attitude », précise la publication qui diffuse une photo.
Ce jour là, Johnny Depp s’était illustré en appelant à faire assassiner le président des Etats-Unis, Donald Trump.
« Est-il possible d’amener le Président Trump ici s’il vous plaît ? Je pense qu’il a besoin d’aide ! C’est juste une question, je n’insinue rien de particulier, mais… En fait, cela va finir dans la presse, ça va être horrible… Mais j’aime l’idée que vous fassiez partie de cette histoire. C’était quand la dernière fois qu’un acteur a assassiné un Président ? », avait glissé Johnny Depp, faisant référence au meurtre du président Abraham Lincoln en 1865 par un comédien. Et d’ajouter : « Je veux clarifier, je ne suis pas acteur. Mon métier, c’est mentir ! ».
La Maison Blanche n’avait pas tardé à réagir à ce propos.
« Le président Trump a condamné toute forme de violence, et c’est dommage que d’autres, tels que Johnny Depp, n’ont pas suivi cet exemple ».
Face à la polémique, Johnny Depp a finalement présenté ses excuses : « Je demande pardon pour cette plaisanterie de très mauvais goût que j’ai tenté de faire la nuit dernière à propos du président Trump. Cela n’a pas été interprété comme prévu, je ne sous-entendais aucun mal. Je voulais juste faire de l’humour, sans blesser qui que ce soit », a admis Johnny Depp.