Céline Dion, toujours affaiblie par le syndrome de l’homme raide, aurait décidé de tenter un traitement révolutionnaire dans une clinique du Colorado, avant peut-être de se rendre à Montpellier. Elle risquerait la paralysie.
Céline Dion, qui est actuellement affaiblie par une maladie neurologique, mène une vie retirée loin de la scène, ce qui ne convient pas du tout à son tempérament de travailleuse acharnée, rapporte le magazine Intimité Dimanche.
Cependant, pour retrouver sa santé et son dynamisme, elle a décidé de prendre les choses en main.
La diva québécoise qui souffre d’une maladie neurologique vivrait isolée dans les montagnes du Colorado, dans une clinique privée, où elle serait entourée de sa famille, de ses enfants, de ses amis proches et d’une équipe médicale spécialisée dans le traitement de maladies multi-systémiques.
La Mayo Clinic de Rochester, dans le Minnesota , aurait été choisie pour son protocole de soins destiné à réparer le corps. Cette clinique, classée numéro un parmi les meilleurs hôpitaux du monde, a accueilli de nombreuses personnalités comme le Dalaï-Lama, Elton John et George W. Bush.
D’après ce magazine people, qui reprend une information révélée par le magazine Closer, Céline Dion serait suivie par le docteur Jill R. Schofield, patronne du Center for Multisystem Disease, qui « l’accompagne depuis que le diagnostic a été posé ».
La chanteuse aurait fait un bilan complet pour que son équipe médicale dispose de toutes les données nécessaires pour traiter sa pathologie. Elle suivrait également des conseils diététiques et des exercices de respiration pour « lutter contre le stress et les douleurs ».
Pleine d’espoir, Céline Dion se remet à l’entraînement physique tous les jours avec un thérapeute en médecine sportive. Elle compte sur ses enfants pour lui donner le courage et l’espoir de continuer.
Malgré sa maladie, elle espère aussi retrouver sa vie et son public sur scène en 2024, indique le magazine people. Elle resterait optimiste et croit en son traitement, en sa guérison ou au moins en la diminution considérable des effets négatifs de sa maladie.
À un proche, elle aurait récemment confié, pleine d’optimisme : « Je veux y croire... »
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