La première dame était présentée comme une princesse dépensière ? : Palmero a suscité la controverse, en dépeignant dans ses notes publiées par « Le Monde » Charlène de Monaco comme une princesse dépensière.
Les dépenses de Charlène,totalisant 15 millions d’euros sur huit ans, ont été mises en lumière. Bien que cela ne représente qu’une fraction des avoirs de la famille princière, Albert II admet que cela peut sembler énorme pour le grand public.
En janvier 2024, Palmero, visiblement bouleversé par son éviction précipitée, a laissé fuiter des informations compromettantes sur les finances de la famille princière.
Depuis, une guerre de mots s’est engagée entre les deux hommes, chacun rejetant la responsabilité sur l’autre. Albert II accuse Palmero d’avoir tenté de s’enrichir à ses dépens.
Albert II prend la parole : Jusqu’à présent relativement discret sur cette affaire, Albert II a choisi de s’exprimer dans une longue interview pour se défendre.
Il a affirmé qu’il « n’était pas au courant des agissements » de Palmero et de ses associés, et a exprimé ses soupçons envers Palmero, déclarant que celui-ci avait « souvent outrepassé son mandat » et participé à « des projets immobiliers » non autorisés.
Claude Palmero a rapidement réagi aux accusations portées contre lui. Il a annoncé son intention d’intenter une action en diffamation pour rétablir la vérité, affirmant vouloir établir les faits sur la base de preuves tangibles. La bataille pour la vérité ne fait que commencer