Si Albert de Monaco a autorisé son épouse, Charlène de Monaco à trouver refuge en Corse, ce serait peut-être pour la protéger des serpents à Monaco. Le nom de la princesse a été lié à un scandale sexuel, alors qu’elle n’est toujours pas remise d’aplomb.
D’après Corriere della Sera, repris par Closer, la maman de Jacques et Gabriella ne serait pas à Berne en Suisse, comme cela a été rapporté par Bild, mais en exil Corse. L’ile de beauté lui rappelle l’Afrique du Sud, son pays d’origine comme elle le confiait dans Point de Vue.
Il s’agirait du fruit d’un accord avec le prince Albert de Monaco qui lui laisserait une grande liberté de mouvement avant de retrouver ses engagements et sa famille.
Mais ce serait aussi une manière de la protéger des polémiques comme celle ébruitée par le magazine Public qui évoquait en mars dernier un scandale de pédophilie, impliquant un aumônier dans un collège, “mis à la disposition de la fondation” de la princesse en 2015.
Cet homme est William McCandless serait recherché par la justice américaine pour actes pédophiles sur de jeunes enfants âgés de 18 mois à 12 ans.
Dans une enquête dans le très sérieux Philadelphia Inquirer, il a été décrit il y a quelques années comme « l’un des amis les plus proches de la princesse ».
Il serait même allé à au chevet de Charlène de Monaco lorsqu’elle a mis au monde ses jumeaux, Gabriella et Jacques.
Contacté par le magazine Public, Maître Lacoste, l’avocat de la première dame monégasque, déclare « ne vouloir faire aucun commentaire, tout comme la procureure générale de Monaco, qui a mené la perquisition ».
« Quoi qu’il en soit, cette affaire survient au pire moment pour Charlène. Alors qu’elle tente de se reconstruire, toujours fragile, cet horrible passé remonte à la surface. Comme si, sur ce Rocher, les princesses étaient frappées par une éternelle malédiction ».
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