Anne-Claire Coudray, la présentatrice des JT du week-end de TF1 s’en voudrait terriblement d’avoir tourné le dos à son passé. D’après le magazine France Dimanche, elle serait dévorée par la culpabilité.
Anne-Claire Coudray a beau cartonner avec son JT sur TF1, l’angoisse du futur la hante, convaincue qu’elle sera victime de jeunisme, comme l’a été Claire Chazal avant elle.
Devinant qu’elle sera un jour victime de jeunisme, la journaliste vedette de la première chaîne pense que "ce sera douloureux".
Mais elle tente tant bien que mal de se rassurer. S’elle devait être évincée, l’heureuse maman de Amalaya renouera avec "ses premières amours, le grand reportage".
Par ailleurs, en cette période triste de confinement, imposée par les autorités sanitaires pour enrayer le coronavirus, Anne-Claire Coudray ne peut compter que sur une équipe réduite.
"La styliste qui s’occupe de moi habituellement est confinée, mais j’ai toujours un fond de garde-robe à TF1", précise celle qui espère que les téléspectateurs ne lui en voudront pas de s’habiller toujours pareil.
"Pour mes cheveux, c’est toujours moi qui me coiffe, donc rien ne change", précise Anne-Claire Coudray, qui avait aussi précisé le contenu de son journal dans Gala.
"Rappeler régulièrement le taux de mortalité, la vitesse de propagation du virus, mais aussi les conseils pour la ralentir, le taux de guérison. Ces notions sont devenues des repères", a-t-elle indiqué.
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