Philippe Besson, proche de Brigitte Macron à laquelle il a consacré un ouvrage, évoque le cancer qu’il a combattu pendant deux ans.
Le procès des trois présumés agresseurs de Jean-Baptiste Trogneux, le petit-neveu de Brigitte Macron, s’est déroulé ce lundi 5 juin. À cette occasion, l’avocat de la victime a révélé les séquelles dont souffre ce membre de la famille de la Première dame, qui serait elle-même sous le choc.
Cette affaire a fait grand bruit et le procès s’est tenu ce lundi 5 juin. En effet, le 15 mai dernier, le petit-neveu de Brigitte Macron, a été agressé par trois hommes comparaissaient devant la justice. Bien qu’absent lors de l’audience, Jean-Baptiste Trogneux a été blessé lors de cette attaque.
Lors du procès, Me Delahousse, son avocat, a souligné que les séquelles n’étaient pas seulement physiques, rapporte BFMTV. Il serait traumatisé par cet épisode.
« Il est particulièrement difficile d’effacer l es violences morales et leurs conséquences ", a-t-il déclaré.
Le petit-neveu de Brigitte Macron aurait diagnostiqué avec un syndrome de stress post-traumatique.
D’après un site spécialise, ce syndrome est marqué par la difficulté à ressentir certaines émotions, par exemple la tendresse et le désir sexuel ; de la difficulté à se concentrer ; de la difficulté à trouver le sommeil ; un besoin d’être continuellement en état d’alerte, prêt à réagir.
Ce membre de la famille de Brigitte Macron aurait aussi des difficultés à trouver le sommeil.
Jean-Baptiste Trogneux avait été agressé lors de la soirée du 15 mai dernier, devant sa boutique, peu de temps après le discours du président de la République.
Il avait été violemment frappé alors qu’il était à terre, comme le rapportait Le Parisien. Trois suspects avaient été jugés en comparution immédiate, deux jours après l’agression. Placés en détention provisoire, ils avaient demandé le report du procès afin de préparer leur défense. Ce lundi 5 juin, deux des trois suspects ont finalement été condamnés. L’un d’entre eux a écopé d’une peine de douze mois de prison ferme, tandis que le second a été condamné à quinze mois de prison ferme. Le troisième a été relâché par le tribunal correctionnel d’Amiens, bénéficiant du doute, selon Le Point.
Selon BFMTV, Me Delahousse a déclaré lors du procès : "Jean-Baptiste Trogneux demande la paix, il souhaite pouvoir sortir de chez lui sans crainte, simplement parce qu’il porte le nom de Trogneux. Il demande que de tels actes ne se reproduisent jamais et qu’il puisse vivre sereinement". L’avocat de la victime a également rappelé que le petit-neveu de Brigitte Macron "ne réclame pas de dommages et intérêts".
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