Le 27 octobre, Le Monde a publié une enquête révélant une potentielle faille de sécurité impliquant les gardes du corps du président Emmanuel Macron.
En isolement forcé à l’Élysée à cause de la pandémie meurtrière du Covid-19, Brigitte Macron en voudrait son mari qui a pris d’énormes risques. Il aurait pu la contaminer, alors qu’elle déplore une vulnérabilité liée à son âge. Le coronavirus est âgiste.
Et la situation à risque est évoquée dans "Paris Match" dans son édition du 20 mai, où il est question de la visite présidentielle en février dernier à Mulhouse.
Emmanuel Macron avait prononcé un discours lors d’un rassemblent évangélique, au lendemain de la « semaine de jeûne ».
Après s’être insurgé contre le « séparatisme islamiste », à quelques centaines de mètres du centre évangéliste, le chef de l’État et ses ministres s’étaient offert un bain de foule, "des selfies et des accolades pendant plus d’une heure et demie".
Et ce jour-là, le mari de Brigitte Macron avait même serré la main à
une présidente d’association, laquelle révélera le lendemain avoir été testée positive au coronavirus. Un choc pour l’entourage présidentiel.
Et quelques semaines plus tard, à Paris, le 22 février, "le Salon de l’agriculture est inauguré. Pendant six jours, 482000 visiteurs". Que de risque pris !
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