Le fiancé de Julie Gayet se livre à ce sujet dans une prise de parole dans « Le Parisien », nouvelle étape de la promotion de son dernier livre « Affronter ». Il s’en prend indirectement à son successeur à l’Élysée, qui aurait « multiplié les volte-faces sur les sujets essentiels ».
Cependant, sur le bilan, François Hollande semble juste, surtout lorsqu’il lui est rappelé que le mari de Brigitte Macron conserve un socle d’électeurs solide, autour de 25 %, notamment son électorat de gauche en 2017.
L’ancien président n’est pas étonné, et affirme que son successeur est un choix par défaut.
« Ce n’est pas lui qui en porte la responsabilité mais ses concurrents qui ne présentent pas d’offres convaincantes », a-t-il indiqué.
« Les grands partis, à droite comme à gauche, qui avaient vocation à éclairer les Français les ont finalement abandonnés. Quant au PS, il a été dans l’excuse et l’effacement plutôt que dans l’affirmation et la proposition. À gauche, toutes les candidatures sont lilliputiennes. Elles se livrent à des batailles aussi picrocholines que microscopiques », a-t-il taclé.