Le samedi 23 septembre dernier, des activistes anti-monarchie ont réussi à pénétrer dans l’un des endroits les plus emblématiques de la royauté britannique : le palais de Buckingham.
Camilla Parker-Bowles en voudrait à mort au prince Andrew et savourerait sa descente aux enfers, et sa mise au vert par la reine.
La souveraine de 92 ans, qui serait très fragilisée par la maladie, aurait en effet mis à l’écart son fils préféré suite à sa sortie médiatique face aux caméras de la BBC au sujet de l’affaire Jeffrey Epstein, un scandale sexuel dans lequel son nom a été cité.
Et le prince William et Kate Middleton qui lui en voudrait à mort, ce serait aussi le cas de l’épouse du prince Charles de savourer sa vengeance.
La duchesse de Cornouailles « n’a jamais oublié comment il la traitait après le décès de la princesse Diana », indique une source, qui a brise le silence lors d’un entretien accordé à New Idea.
« La reine a toujours écouté Andrew, il aurait pu venir en aide à Charles et Camilla en plaidant leur cause, à une époque où ils avaient peu d’alliés dans la famille », glisse cet intime.
Camille Parker-Bowles s’était toujours interrogé sur son utilité au sein de la famille royale et sa mise à l’écart ne pourrait que la réjouir.
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