Et cette réjouissante nouvelle est rapportée par le média italien Yeslife, qui rappelle que malgré les humiliations publiques subies, notamment en raison des infidélités du père de sa fille, l’ainée des Grimaldi n’aurait aucune intention de divorcer par crainte de « perdre son titre d’Altesse Royale.
« Évidemment, il y a aussi beaucoup plus en jeu que son statut de princesse royale, supérieur à celui de sa belle-sœur, Charlène de Monaco.
Le prince de Hanovre, malgré des investissements hasardeux, serait à la tête d’actifs estimés à 350 millions d’euros.
France Dimanche s’était aussi interrogé sur les raisons pour lesquelles la princesse Caroline de Monaco refusait de divorcer, un refus qui serait lié à la religion.
Pour l’Église catholique, le sacrement de mariage est indissoluble. « Au cas où des conjoints « se séparent, leur éventuel remariage civil est tenu pour gravement coupable. Les mariés séparés sont considérés, du vivant de leur premier conjoint, comme inaptes à toute autre vie conjugale légitime ».
Si jamais Caroline de Monaco – membre de la famille régnante d’un État dont la religion d’État est le catholicisme – devait divorcer du prince Ernest-August de Hanovre, elle serait dans l’impossibilité de se remarier.