Karim Benzema, en couple depuis l’été dernier avec Jordan Ozuna, la mère de son quatrième enfant, préfère garder le silence sur sa vie sentimentale, même si elle semble parfois complexe, comme l’a rapporté récemment le magazine Public.
Fragilisée par une maladie neurologique, Céline Dion pourrait finalement mettre le cap sur la France pour la poursuite de son traitement. Une méthode miracle pourrait lui être proposée.
D’après une information révélée Midi Libre, l’entourage de Céline Dion avait pris contact avec le CHU de Montpellier, afin qu’elle soit prise en charge par l’équipe de l’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU).
Cette équipe est spécialisée dans les maladies auto-immunes, raison pour laquelle elle a été sollicitée par la diva québécoise, qui espère trouver un traitement contre le syndrome de l’homme raide.
Cette maladie est extrêmement invalidante, comme le rappelait Céline Dion dans un message déchirant publié le 8 décembre dernier sur sa page Instagram.
Celle qui aurait été abandonnée par son fils ainé, René-Charles, avait révélé à ses fans qu’elle souffrait du syndrome de l’homme raide, une pathologie rare, qui touche environ une personne sur un million.
Cette maladie sournoise se caractérise par des raideurs musculaires progressives et affecte également les cordes vocales, privant ainsi la star mondiale de sa voix. Jusqu’à présent, cette maladie n’a pas de traitement connu, mais l’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) de Montpellier compte bien changer la donne.
Des solutions thérapeutiques pour de nombreuses maladies auto-immunes seraient en phase de développement.
Les proches de Céline Dion aurait pris "contact" avec Christian Jorgensen, qui est présenté comme le futur responsable de l’équipe médicale en charge de l’immunologie clinique et thérapeutique.
« Céline Dion développe des anticorps qui ciblent une enzyme et perturbent considérablement ses muscles. À ce jour, il n’y a aucun traitement pour cela. Sur une plateforme comme la nôtre, nous pouvons essayer d’en trouver un", a-t-il expliqué, avant de livrer des précisions sur la méthode qu’il compte développer.
« Pour cela, il faut séquencer l’anticorps, construire un CAR-T spécifique et le tester », a-t-il indiqué.
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