Charlène de Monaco, la princesse au train de vie extravagant ! Durant un été en Corse, ses dépenses auraient atteint des sommets, avec notamment l’embauche d’un cuisinier coûtant 300 euros par jour, totalisant ainsi 965 000 euros en deux mois et demi, incluant la location d’une villa.
De ces dépenses, il en est question dans les colonnes du dernier numéro de Public, qui l’affirme en pleine tourmente.
D’après la publication, le comptable aurait mis son veto à l’achat d’un catamaran, l’une des nombreuses demandes extravagantes de la princesse Charlène, qui bénéficierait toute l’année des services de huit personnes, parfois avec des passeports irréguliers.
Un train de vie démesuré accentué par d’autres révélations sur « l’entretien de la famille sud-africaine de Charlène ».
Son frère Sean Wittstock aurait reçu généreusement 900 000 euros pour l’achat d’une maison.
Claude Palmero, l’ex-comptable du Palais, aurait également mis en garde le prince, notamment lorsque sa tendre épouse aspirait à devenir « régente » en cas de disparition du souverain.
Cela aurait suscité des tensions. Cet ancien collaborateur semble avoir dépassé ses compétences.
Le Monde rapporte par ailleurs que Claude Palmero aurait soulevé des inimitiés en dénonçant les agissements de Caroline `et Stéphanie, accusées de prélever sans discernement dans les biens familiaux tels que des bijoux et des tableaux de maîtres.
Face à ces allégations, le prince Albert a réagi en estimant que les critiques de Palmero révèlent « sa vraie nature et le peu de respect qu’il porte en réalité à la famille princière et à la principauté ».
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