Le prince Albert de Monaco aurait fâché sa tendre épouse, Charlène de Monaco, en raison de ses supposées rencontres à Rome avec une riche héritière. Des frictions conjugales sont une nouvelle fois alimentées.
Charlène de Monaco aurait été admise l’an dernier en urgence dans un hôpital sud-africain, a rappelé un magazine sud-africain qui évoque une greffe osseuse et une crise d’épilepsie. La dépression respiratoire est écartée, alors qu’elle a été avancée à l’époque.
Cette dernière piste a été alimentée par le magazine people, qui affirmait l’épouse du prince Albert de Monaco en proie à une addiction depuis neuf ans à un dangereux cocktail de somnifères, Stilnox, Imovane, et dérivés de Carfentanil.
« Tout a commencé par des anti-douleurs pour soigner une vieille blessure. Et puis au fil du temps, parce qu’elle n’arrivait pas à dormir, elle est tombée dans un cercle vicieux », révélait le magazine Voici.
Le Stilnox est un analgésique ultra puissant pouvant parfois provoquer des difficultés respiratoires (dépression respiratoire), de coma et peut mettre votre vie en danger.
L’augmentation de l’anxiété, agitation, agressivité, confusion des idées, hallucinations amnésie, antérograde », précisait la publication.
Mais d’après le magazine sud-africain You cette fois, Charlène de Monaco aurait été en proie à une crise d’épilepsie, consécutive à une greffe osseuse.
Cette intervention « a été particulièrement éprouvante », a confié une source proche de Charlène de Monaco.
Ce serait à l’hôpital de Durban que l’ex-nageuse aurait soignée, et placée au repos forcé.
La pression liée à son statut serait en cause.
Elle aurait été placée en isolement pour récupérer, après s’être sentie confuse, et désorientée.
« Une perte de mémoire ou des maux de tête peuvent aussi survenir », à la suite d’une crise.
Le magazine You n’évoque pas de décompensation psychotique, marquée par délires, hallucinations, comme le magazine Voici en avait fait état.
Ces articles devraient vous intéresser :