Si Charlène de Monaco a érigé une muraille presque infranchissable sur sa vie privée, et sur son mariage avec le prince Albert, le père de ses enfants, certaines proches ne s’en privent pas. Ils balancent. Des termes « choc » ont parfois été utilisés.
Et ils ont été rappelés par le magazine « Public », qui reprenait une rumeur colportée par le magazine américain Globe, pour lequel cela ne fait aucun doute : un divorce aurait été frôlé l’an dernier, alors que la maman de Jacques et Gabriella était retranchée en Afrique du Sud, officiellement à cause des conséquences d’une infection ORL.
Charlène de Monaco est supposée avoir tenté de négocier avec le Palais afin d’obtenir un divorce avec le prince Albert, une éventualité balayée d’un revers de main le prince souverain.
« Jacques et Gabriella lui manquent terriblement », a confié une source proche de l’ex-championne de natation.
Elle aurait envisagé à l’époque rester en Afrique du Sud, le pays ancestral de son enfance, jusqu’à ce qu’une entente soit conclue. Et sa requête « était assez conséquente ». Un chèque d’un demi-milliard de dollars aurait été réclamé.
“Trahie”, “utilisée” étaient le termes choc, utilisés par cette qui s’exprime sous couvert d’anonymat.
« Les mots semblent trop forts. Pourtant, ils ne sont peut-être que le reflet de ces années compliquées vécues par Charlène au sein d’un clan dans lequel elle ne se serait jamais sentie acceptée », a commenté la publication.