Charlène de Monaco, ancienne nageuse de haut et mère des jumeaux Jacques et Gabriella, fait face à un défi de taille : celui de concilier son passé d’athlète de haut niveau avec son rôle de mère.
Si Charlène de Monaco a fini par prendre ses distances avec le Palais, c’est qu’elle aurait cédé aux dires des médiocres, peut-être à une sorcière d’origine australienne.
Stéphane Bern semble le confirme dans un article publié par le magazine « Paris Match », qui a recueilli les confidences d’une source proche.
Charlène de Monaco « a commencé par se méfier de tous, coupant les points un à un. Puis elle a cédé aux dires médiocres de quelques profiteurs qu’elle demandait au Palais d’appointer », a indiqué Stéphane Bern, l’auteur de l’artiste, qui semble faire référence à une rumeur ébruitée quelques mois plus tôt par Paris Match. Le magazine Ici Paris avait repris l’information.
« La princesse ne prend aucune décision sans l’avis d’une étrange prophétesse venue d’Australie », est-il rapporté.
Et de poursuivre : « La redoutable Dawn Earl (…) est décrite comme « une numérologue sud-africaine rescapée d’une secte en Australie ».
Cette femme, Charlène de Monaco l’aurait imposée au palais.
Cette diseuse de bonne aventure aurait « suggéré qu’un de ses proches, informaticien, « devienne le graphiste officiel de la principauté ».
Certains proches craignent que Charlène de Monaco « insère quelques signes cabalistiques dans « la communication du palais ».
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