Chacun révèle un esprit compétitif, que ce soit sur les terrains de sauts internationaux pour l’héritière monégasque, une cavalière chevronnée depuis son enfance, ou sur les grands écrans pour Dimitri, dont le mental d’acier le pousse constamment à relever « des défis cinématographiques exceptionnels ».
Dimitri Rassam, tel un athlète cinématographique, ne se contente pas de projets conventionnels. Avec une détermination impressionnante, il a même intégré Charlotte Casiraghi dans ses aventures professionnelles.
Ils ont co-produit ensemble « Notre-Dame du Nil », une adaptation de l’œuvre de Scholastique Mukasonga. « Ce huis clos anticipe le génocide de 1994, mais il se déroule dans les années qui suivent la décolonisation ».
Cette production n’a pas eu le succès escompté. D’après Voici, la fille de Caroline de Monaco en aurait voulu à son homme pour cet échec. Cela aurait créé des frictions.
Dimitri Rassam est quant à lui passé à autre chose. Il est sur plusieurs projets à la fois.
« Travailler avec lui, c’est du sport, quasiment une discipline olympique. C’est un challenge quotidien », a confié une source citée par Point de Vue.
Ensemble, Charlotte Casiraghi et Dimitri Rassam avaient façonné jour après jour des liens de plus en plus forts, « intégrant harmonieusement Darya, la fille de Dimitri, âgée de 12 ans, et Raphaël, 10 ans, le fils de Charlotte issu de sa relation avec l’humoriste Gad Elmaleh, dans ce bonheur naissant ».