
Sylvie Petit-Leclair, ex-directrice des Services judiciaires à Monaco, a livré son point de vue sur son départ précipité, dans une interview accordée à Nice-Matin ce 3 octobre.
Brigitte Macron n’échappe malheureusement pas aux agressions sur les réseaux sociaux. En 2021, des rumeurs malveillantes à son sujet ont circulé, donnant lieu à une procédure judiciaire.
Comme le rappelle le magazine Public, qui lui consacre la Une de sa dernière édition, deux femmes ont été condamnées en première instance à une amende de 500 euros avec sursis, ainsi qu’à 8 000 euros de dommages et intérêts pour diffamation.
Par ailleurs, une nouvelle plainte a été déposée pour cyberharcèlement, à la suite de la diffusion d’une photo d’elle en maillot de bain accompagnée de commentaires haineux. Son entourage précise : « Nous signalons systématiquement tout acte caractérisé ».
Face à ces attaques incessantes, la Première Dame a fait le choix de riposter. « Je ne vais pas me laisser faire », a-t-elle confié à une proche.
Résolue à défendre son honneur, elle n’hésite pas à contacter directement les rédactions qui publient des informations qu’elle considère erronées.
Cette approche, qu’elle assume pleinement, est cependant tempérée par une conscience des limites de ce combat. Une ancienne ministre lui aurait d’ailleurs conseillé : « Ne saute pas sur chaque caillou, au risque de finir pieds nus ».
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