Charlotte Gainsbourg se prépare à ouvrir la maison de son défunt père, Serge Gainsbourg, au public. Une décision qui l’a amenée à réfléchir sur son deuil et à expliquer pourquoi elle n’allait pas sur la tombe de son père depuis de nombreuses années.
Six mois après l’amorce de leur idylle, Dimitri Rassam et Charlotte Casiraghi ne se lâchent plus d’une semelle.
Et le 1 er juillet, soit quelques jours après avoir officialisé leur idylle en marge du Jumping de Monte-Carlo auquel l’égérie de Gucci participait, les deux amoureux ont fêté avec l’ensemble de la famille princière le 18 ème anniversaire d’Alexandra de Hanovre, la fille cadette de Caroline de Monaco.
Les photos ont été dévoilées en partie par la presse italienne, comme souvent à la page.
Gala, on le rappelle, a aussi mis à l’honneur cette idylle. Et dans son long dossier, il est affirmé que l’héritière des Grimaldi et le fils de Carole Bouquet étaient destinés à se mettre ensemble.
Est-ce que ces enfants « bien nés », comme on dit, « étaient destinés à se rencontrer un jour ?? », s’interroge l’hebdomadaire people, qui ne répond pas dans un premier à cette question.
Il est précisé néanmoins qu’à ce couple « plein de charme », qui a officialisé cette idylle il y a quelques jours au Jumping de Monte-Carlo, on a « envie d’y croire ».
Leur passé les aurait rapproché. Ils ont en effet perdu leurs papas très jeunes.
Dimitri Rassam « a perdu son père à l’âge de 3 ans ».
« Producteur de génie (il a flairé les Godard, Pialat, Jean Yanne, Ferreri, Polanski…), excessif en tout, borderline souvent, diagnostiqué maniaco-dépressif, Jean-Pierre Rassam met fin à ses jours en 1985, il a 43 ans ».
« J’ai vécu dans l’absence de père, mais pas dans le souvenir de l’avoir perdu », résume Dimitri Rassam, qui est revenu sur cette période dans les pages du magazine « Elle ».
Charlotte Casiraghi quant à elle a perdu son papa, alors que qu’elle n’était âgé que de quatre ans.
« L’inquiétude et l’angoisse existentielle font partie de la vie de chacun. Mon expérience personnelle a été faite d’événements tristes, comme la mort précoce de mon père. », disait-elle il y a peu à l’Observateur de Monaco.
Et d’ajouter : « La solitude, je l’ai ressentie assez tôt, adolescente, et c’est ce qui m’a poussée vers l’introspection, d’autant que j’avais un tempérament qui m’inclinait à l’analyse ».
Ce passé douloureux leur permettrait de se construire ensemble, et surtout de se focaliser sur l’essentiel, a fait savoir la publication.
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