À l’âge de 3 ans, la vie de Dimitri Rassam est bouleversée par la mort de son père, Jean-Pierre Rassam, figure emblématique du clan Rassam-Berri. Héritier de cette lignée prestigieuse, le mari de Charlotte Casiraghi a su créer un parcours singulier, devenant un acteur majeur du monde de la production cinématographique.
Le Parisien met en lumière son rôle dans l’initiation et la production du film "Les Trois Mousquetaires" de Martin Bourboulon, dont le deuxième volet, "Milady", s’apprête à sortir en salles.
L’article révèle le drame qui a marqué son enfance, la disparition de son père à l’âge de 43 ans des suites d’un arrêt cardiaque, lié à sa lutte contre l’héroïne. Douze ans plus tard, sa mère Anne-Marie Rassam met fin à ses jours, suivie tragiquement par son fils Julien , cinq ans après.
Dimitri Rassam évoque avec sérénité ces épisodes douloureux de sa vie, refusant de se positionner en victime. Il souligne l’amour et la protection dont il a bénéficié, notamment de la part de Carole Bouquet, surnommée la Générale, et de son oncle Paul Rassam, qui l’a pris en charge comme un père, précise la publication.
Lorsqu’il est questionné sur l’impact de ces tragédies familiales, Dimitri refuse de céder au récit victimaire, soulignant plutôt sa conscience de la chance qu’il a eue. Malgré les ombres du passé, il trace son chemin vers le succès, devenant une figure incontournable de l’industrie cinématographique.
« On est tous visités par le tragique, mais ce serait indécent de ma part de ne pas avoir conscience que j’ai aussi eu énormément de chance. J’ai été extrêmement choyé. », a-t-il indiqué.