Dominique Tapie, la veuve de Bernard Tapie, doit régler les 600 millions d’euros de dettes de son défunt mari… Et elle n’en pourrait plus. D’après Ici Paris, elle serait au bord du suicide.
L’un des regrets du regretté Bernard Tapie, c’est de ne pas avoir écouté son épouse, Dominique, le père de deux de ses enfants, qui l’aurait mis en garde contre le monde de la politique. Il n’aurait jamais dû se lancer.
Le pilier depuis cinquante de l’homme d’affaires l’avait supplié de ne pas se lancer dans la politique. Sa grande erreur, a rappelé Franz-Olivier Giesbert dans un article en hommage à l’homme d’affaires publié par le magazine Le Point.
« Optimiste. Tapie n’était jamais celui que l’on croyait. Il pouvait être brutal mais c’était aussi un sentimental qui avait la larme facile. Il avait toutes les apparences d’un m’as-tu-vu mais, au fond, il était secret et pudique », explique le journaliste, auteur de l’ouvrage « Bernard Tapie, Leçons de vie, de mort et d’amour », paru au printemps dernier.
L’ancien patron de l’OM, qui a perdu la vie à l’âge de 78 ans des suites d’un cancer généralisé « passait pour un macho mais il marchait au doigt et à l’œil derrière Dominique, son épouse et alter ego, qui, dans les grandes décisions de sa vie, a toujours eu le dernier mot », explique-t-il, avant d’évoquer une exception : « quand il se lança en politique ».
« Tel était Tapie : jamais où on le cherchait, prosaïque et idéaliste. Optimiste, surtout. Il n’a finalement rien fait comme tout le monde. Ni sa vie ni sa mort ».
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