« Elle a selon ses amies, toujours prôné la prudence », rapporte le magazine Paris Match, qui s’était intéressé à la situation actuelle de la veuve de Bernard Tapie qui croulerait sous les dettes.
Pourtant, elle l’aurait prévenu.
La maman de deux enfants débusquée dans les rues de Paris avec son chien « disait à Bernard, le gens sont jaloux. N’étale pas trop, sécurise ».
Une décision avait alors été prise, celle de la séparation des biens.
Un hôtel particulier à Neuilly a été acheté au nom de Dominique Tapie pour 15 millions d’euros fiancés à crédit.
« Avec ça, au moins, tu es tranquille », lui avait-il lancé. Il était très optimiste, alors que le vent commençait à tourner après la fin de l’ère Sarkozy.
Et la gauche « multipliait les procédures pour obtenir l’annulation de l’arbitrage, mais toujours il la rassurait ’t’inquiète, les socialos font du cinéma pour les élections ».
Leurs avocats et professeurs de droit se montraient pourtant très rassurants en affirmant que c’était impossible d’annuler l’arbitrage.
« Et pourtant, Bernard Tapie écopa en 2013 d’une mise en examen pour escroquerie en bande organisée.
Et il le condamne avec son épouse à rembourrer les 404 millions d’euros obtenus en 2008. Leurs bien ont alors été saisis ». C’était le début de la descente aux enfers. Mais pour les fans de Bernard Tapie et certains observateurs, sans doute, l’homme d’affaires très rusé aurait le temps de concocter un plan de sauvetage pour son épouse.
« Rusé comme il est et si protecteur pour sa famille, on se doute bien qu’il les a mis à l’abri des démêlés judiciaires de succession. Je ne me fais pas de soucis pour leur avenir. Rien à voir avec ce qui sera déballé publiquement », est-il commenté.