
Un community manager travaillant pour le parti présidentiel Renaissance risque de se faire taper sur les doigts par l’Élysée. Selon nos informations, le jeune homme se serait fait dérober son téléphone portable lors d’une soirée au Gibus, un club...
Il y a douze ans, un chagrin immense frappait Emmanuel Macron : la perte de sa grand-mère adorée, Germaine Noguès, qu’il surnommait Manette.
Celle qui l’a élevé, initié à la lecture dès son plus jeune âge et toujours été sa confidente s’est a perdu la vie le 13 avril 2013, à l’âge de 96 ans.
Mais au-delà de la douleur de la perte, un épisode survenu à cette époque a marqué à jamais le futur président : une maladresse impardonnable de François Hollande.
À l’époque, Emmanuel Macron était encore conseiller du président Hollande. Lorsque Manette s’est éteinte, il a naturellement informé son supérieur de son absence pour les obsèques, prévues dans les Hautes-Pyrénées.
Un déplacement exceptionnel pour celui qui ne s’accordait jamais de repos. Mais à son retour à l’Élysée, l’accueil glacial de François Hollande a été un véritable choc.
« Ah tu es là toi ? J’ai cherché à te joindre samedi, j’avais besoin de te parler », aurait lancé François Hollande à son conseiller. Il a installé un malaise. Mais le pire restait à venir. Constatant la gêne ambiante, le mari de Julie Gayet aurait enchaîné avec une "seconde maladresse" qui a profondément blessé Emmanuel Macron : « Ah oui, c’est vrai. Tu avais ce truc familial... ».
Ces mots ont laissé une cicatrice profonde chez Emmanuel Macron. Il ne lui en voudrait à mort.
Selon Olivier Beaumont dans son livre "La Tragédie de l’Élysée", "plus rien ne sera jamais comme avant entre les deux hommes".
Quelques minutes seulement après cet échange douloureux, Emmanuel Macron se serait confié à un ami. Le mari de Brigitte Macron n’est pas près de pardonner.
« Il savait à quel point c’était important pour moi. Après ce qu’il m’a fait ce matin, je ne lui pardonnerai jamais. », a-t-il indiqué.
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