Des détails sont donnés par le magazine France Dimanche, qui lui offre sa Une.
Sa ténacité n’a jamais fait défaut, et ce, même lorsqu’elle a affronté en silence un combat contre le cancer du sein il y a onze ans. Depuis 2022, elle est fière d’être la marraine de l’ opération Octobre rose , et ses admirateurs lui ont inondé de retours chaleureux, manifestant leur soutien indéfectible.
Pourtant, depuis le 31 juillet, la dame météo est confrontée à une véritable tempête ! Les messages d’affection ont laissé place à des attaques ciblées ! La raison ? Son engagement sans relâche pour alerter sur le réchauffement climatique, symbolisé par une vidéo qu’elle a partagée sur Twitter, affirmant que « les températures augmentent : ce n’est pas qu’une impression". Mais voilà, cet été, une grande partie du pays est sous la pluie, et le mercure peine à grimper ».
Certains mettent en doute ses paroles, en affirmant que l’été 2023 n’est pas été la canicule annoncée, 93 % de la France n’a pas connu de canicule, et « cet été est plutôt frais et pluvieux ».
Les discours et les prétendus mensonges des météorologistes ne passent plus. « Moi, j’ai ressorti mon pull et mon ciré depuis début juillet », a commenté une internaute.
Pire encore, certains osent l’attaquer sur son âge ! « Évelyne, sans manquer de respect, ne serait-il pas temps de raccrocher avant de raconter des bêtises en fin de carrière, non ? » ou encore : "Madame, profitez de votre retraite ! Laissez la place aux jeunes ! ».
Évelyne Dhéliat a pourtant expliqué qu’il y a parfois
« confusion entre météo et climat, entre la tendance générale d’évolution du climat à long terme et la variabilité de la météo à court terme ».
« Si les températures sont basses dans le Nord en ce moment, cela n’exclut pas (malheureusement) la tendance au réchauffement climatique ! ».
« Même si juillet s’est achevé avec une fraîcheur dans le Nord, la moyenne des températures pour tout le pays en juillet 2023 est de +0,8 °C au-dessus des normales saisonnières... Dix-huitième mois consécutif au-dessus des normales ».