Depuis la dissolution annoncée par Emmanuel Macron, Gabriel Attal enchaîne les apparitions publiques et les déplacements sur le terrain. Un rythme effréné qui n’échappe pas à ses collaborateurs, comme le rapporte Le Parisien, ce 2 juillet.
Le premier ministre est au bord de l’épuisement, et d’ailleurs, il suffit d’observer les cernes sous les yeux de Gabriel Attal pour comprendre l’épuisement qui le gagne, indique le quotidien.
Une source proche confirme son rythme effréné.
« Chaque matin depuis l’annonce de la dissolution, il part pour un marathon... au rythme d’un sprint. Je ne sais pas comment il tient, si ce n’est par instinct de survie », résume un habitué de Matignon.
Cette angoisse, l’ex de Stéphane Séjourné ne la verbalise jamais, mais elle est bien présente : celle de potentiellement céder les clés de la Rue de Varennes (VIIe) à Jordan Bardella, le patron du RN, au lendemain du second tour. Le parti d’extrême droite est le grand favori des sondages.
« Non, il n’en parle pas », assure son entourage.
">July 1, 2024« Il y a un troisième chemin, qui est celui que je défends, qui serait d’avoir une Assemblée plurielle.
Au sein de laquelle, nos candidats seraient présents pour protéger les Français des hausses d’impôts et des projets de division. » — @GabrielAttal pic.twitter.com/iyWeiux2sv
— Ensemble pour la République (@Ensemble2024) https://twitter.com/Ensemble2024/status/1807852551414730995
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