Charlotte Casiraghi, la fille de la princesse Caroline de Monaco, a été désignée personnalité de l’année par Vanity Fair Espagne. Et elle s’est rendue à la cérémonie sans son mari, le producteur Dimitri Rassam.
Si Gad Elmaleh confirme publiquement un intérêt pour la religion catholique, sujet de son dernier film « Reste un peu », du temps de sa relation avec Charlotte Casiraghi, c’était déjà le cas. Il l’avait épaté en l’emmenant dans une église à Los Angeles.
Pour épater la mère de son fils Raphaël, le roi du Stand-Up n’avait pas hésité à l’emmener à l’église à Los Angeles, où ils s’étaient retrouvés.
Une manière comme une autre de réussir « le rêve américain » commentait le magazine « Voici », qui immortalisé cette sortie familiale.
« En rentrant d’un brunch chez des amis, hop, un petit tour à l’église », précisait la publication, en commentaire d’une cliché de l’église en question.
Et en entretien avec Madame Figaro, il a regretté qu’en France, une majorité de catholique n’affichent pas publiquement leur foi.
« Je suis étonné qu’en France une grande majorité de catholiques ne vivent pas leur foi au grand jour. Il y a une forme de pudeur et de retenue que les juifs et musulmans n’ont pas. (…) Ils devraient être fiers d’être chrétiens ! », a-t-il déclaré.
Son commentaire a suscité de nombreuses réactions, parfois négatifs.
« Les catholiques ont tellement vécu leur foi au grand jour et sans pudeur en France jusqu’à la fin du 18° qu’ils torturaient et tuaient ceux qui osaient montrer ne pas l’être.
Exhiber ses croyances (à part au Père Noël jusqu’à 6/7 ans) est socialement toxique », a commenté un internaute.
« Je ne vous juge pas, libre à vous de vous questionner. Mais une thérapie est un huis clos, votre illumination et votre foi vous appartiennent. Alors n’envahissez pas les plateaux tv pour votre promotion à moins de reverser les gains de votre histoire à la "sainte" église. Amen ! ».
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