Une jeune femme accuse Gérard Miller de lui avoir imposé une fe**ation alors qu’elle n’était âgée que de 17 ans. Au moment des faits présumés remontant à 2001, elle était lycéenne. C’est la troisième plainte contre le célèbre psychanalyste. Mais cette fois, ce n’est pas prescrit. Elle se rappelle d’une terrible phrase supposée avoir été prononcée par son « agresseur ».
À cet épisode, Aude, c’est son prénom, avait 17 ans alors que le célèbre psychanalyste en en avait 53, rapporte Le Parisien, qui a révélé cette plainte.
Elle était lycéenne en terminale L, attirée par la psychanalyse, lui était un thérapeute reconnu, « très présent à la télévision et à la radio ».
Aude G., aujourd’hui âgée de 39 ans, a porté plainte mardi soir contre X pour viol auprès du procureur de la République de Paris.
Et cette plainte vise Gérard Miller, qui pourrait répondre de cette accusation.
Et dans sa plainte, la jeune femme, qui est aujourd’hui psychanalyste, se souvient d’une terrible phrase prononcée par Gérard Miller lorsqu’elle s’était retrouvée, allongée sur un lit, et son agresseur présumé au-dessus d’elle.
L’ex-complice de Michel Drucker est présenté comme , « calme, mielleux, avec un sourire satisfait ».
Et d’après elle, une phrase étrange a été prononcée :
« Je ne serai pas ton premier. Est-ce que tu as déjà couché avec un garçon ? ». La jeune fille aurait alors répondu non.
La « stricte vérité », dixit la plainte. C’est juste avoir prononcé cette phrase que le psychanalyste est supposé lui avoir imposé une fe**ation.
« son corps était lourd, comme dans un cauchemar, dont il est impossible de sortir », rapporte la plainte. « Un état de sidération totale. ».
Contacté par Le Parisien, Gérard Miller, qui a hérité de curieux surnoms, est droit dans ses bottes et a déclaré « récuser toutes ces accusations » sans souhaiter en dire plus. Dans une lettre publiée sur X le psychanalyste niait avoir utilisé l’hypnose à des fins abusives.
Avec toutes les femmes, j’ai la conviction de n’avoir contraint personne, prenant au pied de la lettre tout embarras, tout refus, et ce tout particulièrement quand je m’engageais sur le chemin de la séduction. », avait-il écrit.
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