Lors de son passage dans TPMP le 4 octobre, Jean-Marie Bigard a fait part de ses préoccupations concernant son ami Pierre Palmade en des termes sombres : "Dans deux ans, il est mort."
Si aujourd’hui, Jean-Marie Bigard est aujourd’hui dans une situation délicate à cause de la crise sanitaire, l’an dernier, alors au somment, il s’était illustré par un geste généreux. Il a fait un don de 300 000 euros pour sauver le neveu d’une concierge atteint de cancer.
Ce 3 décembre, l’humoriste était l’invité des Grosses Gueules sur RMC, où il a confirmé être ruiné et en profitait pour balancer sur Gérard Jugnot qui l’avait comparé à Hitler, suite à sa salve contre Olivier Véran, le ministre de la Santé.
Furieux, Jean-Marie Bigard en a profité pour régler ses comptes avec Gérard Jugnot dont il n’a pas encaissé le tacle.
"C’est dur parce qu’il y a des gens par exemple comme Gérard Jugnot ou d’autres qui me critiquent, a-t-il déclaré. Ils continuent à tourner les films", a-t-il lancé. Ils pètent dans la soie mais moi, si je ne vais pas avec mes 100 kilos de bidoche sur la scène et que le préfet n’accepte pas que je joue devant 2 000 personnes, il m’affame. Je suis ma seule et unique source de revenus. Si je ne travaille plus, je ne gagne plus d’argent . Et au bout de six mois, et bien tu claques du bec".
L’an dernier, il s’illustrait par un acte de générosité, rappelé par Ici Paris.
Le mari de Lola Marois le confirmait dans le cadre de « Un nuit au monastère » sur KTO, une chaine religieuse.
"Toutes mes actions me sont rendues à chaque fois »,disait-il.
Et son diabète diagnostiqué à l’âge de 14 ans, l’humoriste l’avait même considéré comme "un don de dieu".
« A 43 ans, je serais mort d’un coma éthylique si Dieu ne m’avait pas imposé cette astreinte », disait-il. sa maladie est un signe du Seigneur qui lui a fait comprendre « qu’il veut le garder »
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