C’est ce que rappelle l’avocat de la star de 72 ans, Me Arnaud Albou, devant le tribunal correctionnel de Paris.
’Il a abusé de moi. On n’en a jamais parlé lui et moi », a affirmé la comédienne qui a épousé deux fois le chanteur.
Il s’agissait « d’un secret très violent, mais qui nous liait aussi d’une certaine façon ».
Dans sa plaidoirie, l’avocat du rockeur a estimé que « nous ne pourrons jamais savoir qui dit la vérité ».
Il rappelle au passage qu’Adeline Blondieau n’a jamais « déposé plainte pour ces faits », qu’elle n’avait d’ailleurs « jamais évoqués jusqu’alors ».
Les faits dénoncés ne peuvent « a priori pas donner lieu à des poursuites, en raison du délai de prescription ».
Dans un communiqué, l’avocat du chanteur, Ardavan Amir-Aslani, revient à la charge et a fait savoir que son célèbre client dément ces accusations.
« Monsieur Johnny Hallyday nie vigoureusement les allégations sans fondement prononcées à l’encontre de son client, par Madame Adeline Blondieau. Lors de l’audience de plaidoirie qui s’est déroulée hier […] Madame Adeline Blondieau a porté de graves accusations à l’encontre de Johnny Hallyday », est-il écrit dans le communiqué.
« Madame Adeline Blondieau est coutumière de propos malveillants et répétitifs prononcés à l’encontre de [Johnny Hallyday], qui ne commentera pas ses nouvelles déclarations calomnieuses et grossières. », poursuit l’homme de loi.
« Monsieur Johnny Hallyday se réserve le droit de prendre les mesures propres à la sauvegarde de ses droits au regard des propos tenus par Madame Adeline Blondieau. »