Richarlison fait parler de lui en évoquant ses projets pour la retraite, alors qu’il est fortement pressenti pour rejoindre Karim Benzema à Al-Ittihad à Jeddah. Mais le Brésilien a fait parler de lui pour autre chose.
De la guerre opposant Karim Benzema à Didier Deschamps, et avec Hugo Lloris, il en est question dans l’After foot, proposé sur RMC Sport. Daniel Riolo affirme que le sélectionneur de l’équipe de France n’a jamais voulu de l’attaquant du Real de Madrid. Avec Hugo Lloris, ce serait à cause des droits des LGBT
Le coach des bleus éprouverait en effet des difficultés à gérer les personnalités.
« Il ne sait pas gérer les différents égos qu’il peut y avoir dans un vestiaire, et quand on dit qu’il est fort en management des hommes, c’est faux, c’est une légende », a assuré le compagnon de Géraldine Maillet, qui balance ainsi un gros dossier.
Le différends entre le Ballon d’Or et Didier Deschamps remonteraient donc à très loin.
« Il est fort dans la construction d’un groupe, ce qui n’est pas exactement la même chose », explique Daniel Riolo.
Il précise que si un footballeur sert son intérêt et celui du groupe, il peut l’appeler jusqu’à dix fois par jour, comme ce fut le cas de Mamadou Sakho.
Et quand il n’a plus d’intérêt, il n’existait plus.
« Il dira que c’est le football qui est comme ça », le spécialiste sport de RMC.
Mais la petite tension qui aurait peut-être agacé au Qatar, et aurait créé une petite fiction entre Karim Benzema et Didier Deschamps, et même peut-être avec Hugo Lloris, c’est en rapport aux polémiques sur le soutien à la cause de LGBT.
Un moment, une petite discussion a eu lieu pour déterminer comme les joueurs de l’équipe de France allaient réagir. Une lettre a été évoquée, notamment par Hugo Lloris. Karim Benzema de son côté aurait estimé que les footballeurs n’ont pas à s’exprimer sur ce genre de sujet, qu’il faut laisser aux politiques. « Karim n’était pas très pour. Cela a créé une première petite tension », lâche-t-il dans le cadre de son émission.
Mais la blessure de Karim Benzema aurait aussi rajouté des frictions, surtout la façon de la gérer. Il aurait pu être prêt pour les huitièmes de finales ou pour les quarts. « Quel pays au monde va se priver d’un joueur comme Karim Benzema, d’un Ballon d’or, car il faut être prêt pour le premier match contre l’Australie », estime Daniel Riolo.
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