L’avocat du duc de Sussex a en effet dénoncé le prince de Galles comme une cible de l’enquêteur privé Glenn Mulcaire, qui a travaillé pour les journaux The Daily Mail et Mail on Sunday en 2005 et 2006. À l’époque, l’héritier du trône britannique était déjà en couple avec Kate Middleton. Et leurs secrets les plus intimes étaient exposés au grand jour dans la presse.
Le prince Harry a intenté une action en justice contre ANL pour avoir utilisé de manière abusive des informations privées, dans une affaire d’écoutes téléphoniques et de confidentialité. L’éditeur a nié les allégations, affirmant qu’il s’agissait de « frottis absurdes ».
Le deuxième jour de l’audience sur la protection de la vie privée a vu le mari de Meghan Markle arriver à la Royal Courts of Justice. La procédure judiciaire se poursuivra pour déterminer si les arguments juridiques méritent d’être examinés plus en profondeur.
Des personnalités telles qu’Elizabeth Hurley, Sadie Frost, Sir Elton John et son mari, le cinéaste David Furnish, ainsi que la baronne Doreen Lawrence de Clarendon OBE ont également intenté une action avec le prince Harry.
Le prince William et Kate Middleton sont quant à eux restés à l’écart de cette affaire.
Dans les documents judiciaires publiés lundi, le second fils de Charles a affirmé que Mulcaire avait fourni « des informations obtenues illégalement », et avait proposé un "menu de services illégaux" à un employé du Mail on Sunday.
Les cibles présumées comprenaient Hugh Grant, Jude Law, le député Sir Simon Hughes et le prince William. Le prince Harry a ainsi ajouté un nouveau chapitre à la saga médiatique de la famille royale britannique.