Les relations compliquées au sein du clan Hallyday fait une fois de plus les gros titres, cette fois avec des révélations de Jade Hallyday, qui pointe du doigt son ancienne marraine Luana Belmondo.
"Capital" s’intéresse à l’héritage de Johnny Hallyday et fait état de l’éventualité que Laeticia Hallyday soit reconnue par la justice française comme l’unique héritière de son mari, et de reconnaitre ainsi la suprématie du droit américain.
Capital explique que même si le chanteur disparu est reconnu résident fiscal américain, la France gardera le droit d’imposer "les immeubles situés sur son sol, à savoir la villa de Marne-la-Coquette et celle de Saint-Barthélémy".
Cette résidence, la jolie blonde y détient 50%.
Comme l’héritière unique est Laeticia, "épouse survivante exonérée de droits de succession, il n’y aurait rien à payer au fisc français sur les immeubles français".
"Et aucun crédit d’impôt à déduire", précise le média.
Aux Etats-Unis, où le trust choisi pour gérer l’héritage du rockeur "pourrait là-bas aussi se voir exonérée de droits de succession, un avantage en principe réservé aux épouses de nationalité américaine (la “Survivant Spouse”).
Le peu d’impôt dû ne porterait dès lors que sur les biens placés hors trust, "selon un barème à 12 tranches variant de 18 à 40%, mais après un généreux abattement de 11 millions de dollars".
A terme, et s’elle devait gagner son guerre de succession contre ses beaux-enfants, Laura Smet et David Hallyday, Laeticia Hallyday paiera "un impôt de 1,5 million de dollars seulement, l’équivalent de 1,3 million d’euros, dont 0 euro pour le fisc français".
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