Pascal Praud, le journaliste de CNews, se montre intraitable lorsqu’il s’agit de la sécurité de ses quatre filles. Il tremblerait pour elle.
Laurence Ferrari a été visée par une attaque gratuite sur une éditorialiste de France Inter, qui a ciblé son arrivée dès la saison prochaine sur Europe 1. La journaliste a pu compter sur le soutien de Pascal Praud.
L’éditorialiste de France Inter Sonia Devillers s’en était prise à Laurence Ferrari à laquelle elle lui reproche son retour à Europe 1, station sur laquelle elle a commencé. Elle est supposée avoir été recomposée par Vincent Balloré pour avoir refusé de faire grève en 2O16 sur i-Télé.
Si la journaliste n’a pas pris la peine de répliquer à cette attaque, son collègue Pascal Praud s’est fait un point d’honneur à le faire dans « L’heure des Praud », son rendez-vous sur C News.
« Hier, madame Sonia Devillers, éditorialiste à France Inter, a expliqué que Laurence Ferrari rejoignait Europe 1 parce qu’elle n’avait pas fait grève lorsqu’en 2016 la rédaction d’iTélé avait cessé le travail, elle est récompensée, a expliqué madame Devillers », rappelle le journaliste de C News qui est très régulièrement pris pour cible. « Il ne lui est pas venu à l’esprit que Laurence Ferrari a commencé sa carrière à Europe 1, qu’elle fait ce métier depuis 1988, qu’elle a présenté le journal de 20 heures sur TF1, qu’elle a animé entre autres le débat de la présidentielle ».
Si un homme avait dit pareille infamie, les ligues féministes le taxeraient de sexisme, de misogynie ou de machisme, madame Devillers travaille à France Inter, elle est payée par nos impôts, cela lui donne tous les droits, y compris insulter, mépriser, déprécier une consoeur », a-t-il lâché.
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