Brigitte Macron a apporté une touche personnelle au Fort de Brégançon, la résidence estivale des présidents français. Conformément à son style moderne et épuré, elle a entrepris de rafraîchir la décoration de cette demeure historique.
Laurence Haim a quitté son poste de porte-parole de La République en Marche, le mouvement fondé par Emmanuel Macron.
Et depuis l’annonce de son départ sur Twitter, les rumeurs de la fin de sa collaboration avec Emmanuel Macron vont train.
Celle qui a rejoint l’institut d’études politiques de l’université de Chicago dirigé par David Axelrod, un proche de Barrack Obama, précise les raisons de son départ dans les pages du Journal du Dimanche.
« J’avais plusieurs idées, j’en ai parlé à l’équipe. Mais il a été décidé d’un commun accord qu’il y avait un temps pour la campagne et un temps pour autre chose. Je vais faire attention à la manière dont j’explique les choses car je ne veux pas susciter de polémique dans un univers médiatique que je crois connaître. Il y a des instants de cruauté dans le monde politique que je garderai pour moi », précise-t-elle.
Et d’après le Journal du Dimanche, qui cite un proche d’Emmanuel, l’ex journaliste du groupe Canal Plus aurait bel et bien demandé au président de la république de la nommer ambassadrice de la France aux Nations Unies.
« Elle a carrément demandé le plus beau poste : l’ambassade de France auprès des Nations unies ! », a lâché un membre de l’équipe com’ de l’Elysée.
C’est via sa page Twitter que Laurence Haïm a annoncé qu’elle quittait En Marche.
Elle n’a pas été appelée par l’Elysée pour intégrer la nouvelle équipe de communication d’Emmanuel Macron devenu président.
Laurence Haïm assure cependant qu’elle n’a aucun regret, malgré les attaques dont elle a été la cible.
« J’avais pris un engagement, la mission est accomplie, indique-t-elle. Je remercie Emmanuel et Brigitte Macron. J’ai été au bout de ma sincérité, toujours honnête. C’est passionnant de passer de l’autre côté. J’ai pu me rendre compte que la politique est un monde aussi difficile que la télévision ».
« Il y a des instants de cruauté dans le monde politique que je garderai pour moi », conclut-elle.
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