Selon le duc de Sussex, Le Palais a clairement indiqué qu’il n’avait pas besoin de savoir quoi que ce soit sur le piratage téléphonique, et que la famille royale ne s’est pas « assise à la barre des témoins car cela pourrait ouvrir une boîte de Pandore », rapporte GB News.
Le mari de Meghan Markle affirme également que son frère, le prince William, faisait partie des cibles d’un enquêteur privé, un dénommé Glenn Mulcaire, qui a travaillé pour les deux journaux Mail en 2005 et 2006.
Cet enquêteur aurait fourni « des informations obtenues illégalement », ou de façon abusive.
À l’époque, le prince Harry acceptait la règle de sa famille de « ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer » dans sa relation avec les média.
Mais cette règle stricte de « non-commentaire », aurait fait que le Palais n’a jamais porté à son intention « les pires ou les plus suspects articles » à son sujet.
Le duc de Sussex, qui ne devrait pas rencontrer la famille royale pendant son bref séjour à Londres, est l’une des nombreuses personnalités à porter plainte contre Associated Newspapers Limited pour utilisation abusive d’informations privées.