Si Melania Trump est si pressée de quitter la Maison-Blanche, alors que son mari rechigne à reconnaître sa défaite, ce serait surtout pour protéger son fils Barron, 14 ans, pris pour cible. Le fils cadet du président américain, victime de harcèlement, est supposé ne pas être le fils de Donald Trump.
Le magazine Vanity Fair revient les critiques débiles et sournoise dont a été victime le fils de Melania Trump alors qu’il est encore enfant. Il aurait été instrumentalisé politiquement par les opposants à son père.
Le magazine a exhumé une anecdote remontant à 2019 alors que Donald Trump était visé par une procédure de destitution.
Un professeure à l’Université de Stanford s’en était prise non seulement au locataire de la Maison-Blanche, mais aussi à son fils cadet.
"Donald Trump peut appeler son fils Barron, ça ne fera pas de lui un baron", a-t-elle lancé.
Cette sortie médiatique, Melania Trump présentée comme un mère louve n’y a pas goûté et avait tenu à y réagir sur son compte Twitter.
"Un enfant mineur mérite le respect de sa vie privée et doit être tenu à l’écart de la politique", a rappelé celle qui affirme désireuse de mettre un terme à sa relation avec Donald Trump une fois celui-ci sortie de la Maison-Blanche. "Vous devriez avoir honte de vos courbettes politiques, évidemment partisanes, et d’utiliser un enfant pour ça".
Certains prétendent même qu’il n’est pas le fils de Donald Trump. Cette rumeur récurrente, la First-Lady n’a pas pris la peine d’y réagir.
Fragilisé, Barron avait aussi pu compter sur le soutien de Chelsea Clinton, la fille de Bill et Hilary Clinton.
"Laissez-le tranquille. Laissez Barron être un enfant, il en a le droit", a—t-elle lancé.
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