« J’ai accédé à Joe Dassin, Sylvie Vartan, Johnny Hallyday et j’avais 14 ans », a tout d’abord expliqué celui qui a quitté l’école très tôt pour devenir apprenti chez Alexandre, un coiffeur dont le salon se situait avenue de Matignon.
« Tous les grands homos voulaient me faire goûter à la brioche maudite (terme pour désigner l’homosexualité masculine) pensant que c’était plus intéressant que la cha*** », poursuit Fabrice Luchini, qui s’est rendu sur le plateau du rendez-vous hebdomadaire de France 2 pour assurer la promotion de son autobiographie « Comédie française, ça a commencé comme ça » qui sort aux éditions Flammarion.
« Ils disaient toujours pourquoi tu t’occupes des nanas ? Tu devrais te faire faire des pi*** par des mecs c’est beaucoup mieux. Moi je n’étais pas emballé. Je préférais le mystère du continent noir », a poursuivi Fabrice Luchini.
« Si ma mère était là, elle prendrait ses pilules tout de suite », a lancé Michel Drucker, qui tente de calmer Fabrice Luchini.
« Ce n’est pas méchant. Eux, ils essayaient de me faire accéder à la Sodome, parlons simplement. Moi je préférais les meufs, les nanas. J’étais fous des femmes », glisse-t-il.