De sa lutte contre les addictions et les rechutes, l’ex-complice de Muriel Robin a déjà eu l’occasion d’en parler dans son ouvrage « Dites à mon père que je suis célèbre. ».
Pierre Palmade a été au cœur d’un grave incident en février, impliquant la consommation de stupéfiants. Il est le seul responsable de drame selon un dernier rapport.
Face aux critiques qui ont suivi, il réagit en se présentant avant tout comme un malade. Dans son ouvrage intitulé "Dites à mon père que je suis célèbre ». il a déjà évoqué sa lutte contre les addictions et les rechutes.
« Ce qui me vient, c’est l’euphorie. C’est pour cette raison que je rechute. Les rechutes, c’est oublier les conséquences alors qu’elles sont horribles », avait-il écrit. Actuellement en traitement à Bordeaux comme le rapportait Paris Match, il tente de faire face à ses démons.
Dans son livre, il poursuit, « Une rechute, ça ne fait pas mal tout de suite. Dès que j’ai l’impression d’avoir bien travaillé, que j’ai rempli des salles et qu’éventuellement j’ai eu quelques bonnes critiques, j’ai besoin de me récompenser. Et je ne connais que cette façon-là depuis l’âge de 20 ans » ;
Pierre Palmade insiste sur le fait que la dépendance est une pathologie, u ne aliénation, et non un choix volontaire. Il exprime son désaccord envers ceux qui stigmatisent les personnes luttant contre des addictions en les traitant de "drogués," so ulignant que cela équivaudrait à traiter les personnes atteintes de cancer de manière offensante.
« Être dépendant est une pathologie. Une aliénation. Ce n’est pas un bras d’honneur à la justice ou à la loi. Je n’aime pas ceux qui traitent les gens de drogués : comme si on traitait les gens de sales cancéreux », avait-il écrit.