En janvier, le palais annonce une opération abdominale majeure de la princesse de Galles à la London Clinic, suivie d’un diagnostic de cancer révélé quelques semaines plus tard par l’intéressée elle-même dans une vidéo déchirante en mars.
« On m’a diagnostiqué un cancer après mon opération abdominale », a-t-elle confié dans une vidéo postée sur sa page Instagram.
Elle précisait avoir débuté une chimiothérapie préventive. Si elle a choisi de révéler être aux prises avec cette maladie sournoise, en revanche, Kate Middleton n’a pas divulgué le type de cancer dont elle souffre.
Le palais de Kensington s’est d’ailleurs montré ferme. « Nous ne divulguerons aucune autre information médicale privée. La princesse, comme nous tous, a droit au secret médical », a indiqué la publication.
Cette position s’explique par plusieurs raisons, rapporte la version allemande du magazine « OK ! ».
La famille royale cherche à limiter les rumeurs et les spéculations qui pourraient surgir. Sans informations précises, les médias et les experts, bien que citant des médecins expérimentés, en sont réduits « à des spéculations » sur le type de cancer, le pronostic vital et d’autres détails.
Des experts ont évoqué un cancer du côlon ou des ovaires.
La famille royale accorde une grande importance à sa vie privée. Dévoiler le type de cancer de Kate Middleton et Charles III reviendrait à partager des informations médicales sensibles, non seulement sur eux-mêmes, mais aussi potentiellement sur leurs familles.