Nouveau rebondissement dans l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. Ce mercredi 28 février, RTL révèle que la deuxième enquête préliminaire pour viols et agressions sexuelles visant l’ex-journaliste a été classée sans suite.
Patrick Poivre d’Arvor a réagi à la mort de Laurence Chirac à l’âge de 58 ans des suites d’une crise cardiaque.
« Je suis très ému parce qu’il s’agit d’une jeune fille que j’ai connue alors que justement, il y a une bonne trentaine d’années, elle souffrait déjà d’anorexie, se souvient le journaliste, interrogé sur cette disparition par RTL.
« Elle s’était proposée pour travailler dans une émission que je présentais à ce moment-là sur Antenne 2 », poursuit PPDA avant de préciser que la fille de l’ex président de la république était quelqu’un « qui souhaitait faire le bien autour d’elle ».
« cette maladie, l’anorexie, l’avait rattrapée et l’avait beaucoup immobilisée », alors qu’elle poursuivait ses études de médecine.
La maladie de sa fille, Jacques Chirac ne l’abordait jamais.
« Alors que la rumeur avait couru que justement sa fille était morte, il m’avait pris le bras et dit ’surtout dites à vos amis qu’elle n’est pas morte’ et point final on n’a jamais abordé le sujet ».
Patrick Poivre d’Arvor évoque aussi son partenariat avec Bernadette Chirac pour ouvrir un centre d’accueil venant en aide aux victimes d’anorexie.
« On voulait tous les deux que l’accueil des jeunes gens, des jeunes filles qui souffrent de ce mal, soit plus humain, et c’est la raison pour laquelle on a créé La Maison de Solenn », avoue-t-il.
Laurence Chirac « a beaucoup souffert tout le long de sa vie et ça été une épine dans le coeur de sa soeur, de ses parents et de tous ceux qui l’aimaient », conclut Patrick Poivre d’Arvor.
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