Prince Harry se livre en toute franchise : ses révélations poignantes sur les séquelles de son passé au sein de la famille royale. Charles III risquerait d’être irrité.
En voyage en Afrique actuellement, le prince Harry n’est pas le bienvenu en Namibie qu’il compte visiter dans quelques jours.
Après avoir officié à l’armée durant quatre ans, le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique s’est mis en retrait pour se focaliser sur ses missions humanitaires.
Dans le cadre de son engagement, il s’est envolé cet été en Afrique du Sud.
S’il a été très bien accueilli en Afrique du Sud, le pays d’origine de son ex compagne Chelsy Devy, on ne peut pas en dire autant de la Namibie, où sa venue est loin d’être vécue comme un honneur.
Le ministre du Tourisme et de l’environnement, Pohamba Shifeta, est le premier à dégainer.
’Nous ne souhaitons pas que cela devienne un exercice de représentation’, lâche-t-il, en parlant de la visite du prince, auquel il est reproché son engagement auprès de l’association The Tusk Trust qui lutte notamment contre un système de vente de licences autorisant les chasseurs à abattre des rhinocéros noirs, menacés de disparition. « Les gens doivent comprendre que la chasse de ces animaux est complètement légale. C’est inscrit dans nos lois ».
’La visite de ce garçon ne changera rien, les Namibiens auront toujours faim, n’auront pas plus d’emploi… ils se moquent qu’Harry soit là ou pas’, balance cette fois un journal local. Comment des affamés peuvent se soucier de la mort d’un rhinocéros ou d’un éléphant ? Il s’agit de gens qui n’ont pas d’emploi et s’endorment le ventre vide. Le Prince Harry possède tout’.
Ces articles devraient vous intéresser :