Une spécialiste des têtes couronnées se livre à ce sujet dans son dernier ouvrage, occasion d’affirmer le duc du Sussex sous l’emprise de la mère de ses enfants.
Valentine Low, auteure de « Courtiers : The Hidden Power Behind the Crown », affirme que le second fils du roi Charles a toujours été sous emprise de la femme.
« Avant les fiançailles, il avait tellement peur qu’elle le largue qu’il ne savait plus que faire pour la satisfaire », est-il indiqué dans l’ouvrage. Meghan Markle aurait forcé son homme à passer un cap dans leur histoire.
« Si tu ne publies pas un communiqué pour officialiser notre relation, je vais rompre », aurait-elle lancé.
Le Palais n’exclut pas un divorce et le prince Harry continuerait d’ailleurs de jouir de l’immunité diplomatique pour le protéger. Si un divorce devait être demandé ce serait en Angleterre.
« Un aspect que Meghan n’a pas pris en compte est qu’elle ne peut pas divorcer d’Harry en Californie parce qu’il jouit de l’immunité diplomatique, donc si elle entame une procédure, le département d’État interviendra et suspendra la procédure », indique une spécialiste citée cette fois le média britannique The Express. « Meghan ne peut divorcer de Harry qu’à Londres où son immunité diplomatique ne s’applique pas ».