
Le prince Harry a constaté que ses enfants, Archie et Lilibet, ont hérité de sa chevelure rousse. Et il ne s’y attendait pas comme il l’a confié à Hello !.
Un an après sa sortie de la famille royale dans l’espoir de vivre une mener normale, le prince Harry serait au fond du trou, incapable de prendre ses décision lui-même. Meghan Markle lui aurait fait un lavage du cerveau.
Le second fils du prince Charles ne serait pas au mieux ces derniers temps et son piteux état aurait sauté aux yeux lors de son face à face avec Oprah Winfrey dans son émission sur CBS. Il aurait semblé mal à l’aise, agité, et surtout très triste.
Le seul moment où le prince Harry semblait heureux, c’est au moment de confirmer la grossesse de Meghan Markle et de révéler le sexe de son futur enfant.
Et d’après le magazine « Globe », il aurait subi un lavage de cerveau de la part de son épouse . « Il est pigé en enfer », ose même le tabloïd américain, qui cite une source proche du couple.
« Elle a utilisé de manière flagrante la vie et la mort tragiques de sa mère, la princesse Diana, pour le convaincre que l’histoire se répétait et qu’elle était également la cible du palais déterminée à la détruire. ».
Cette allégation avait déjà été émise par Colin Campbell, experte dans la famille royale dont les confidences ont été reprises par Woman’s day.
« Alors qu’Harry insiste sur le fait que Meghan et lui n’avaient d’autre option « que de partir », cette experte avait craint que cette distance avec le palais allait avoir des conséquences très graves sur le frère du prince William. Une faille psychologique a été évoquée.
« Harry souffre. Elle l’a mis dans une position délicate, en le sommant de choisir entre son devoir familial, et la monarchie. Il a choisi de soutenir sa femme, mais voyons dans quelle situation, il sera dans trois ans ? », s’interrogeait-il.
« Ce que Meghan veut, Meghan l’obtient. Si Meghan n’arrive pas à ses fins, elle claque la porte. Elle l’a fait avec son père. C’est d’ailleurs le facteur déterminant qui a détruit sa réputation ».
« Le Britannique moyen saura que même si votre père n’est pas aussi merveilleux, il est demeure un père qui mérite une certaine considération », a-t-elle conclu.
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