Juste avant de se lancer en campagne présidentielle, qu’il a démarré en fanfare, l’ancien polémiste de C News s’était interrogé sur sa faculté à tenir la cadence.
Le papa de trois enfants s’inquiétait lui-même à ce sujet.
« Un chouïa hypocondriaque, Éric Zemmour a toujours mal au dos, l’angoisse d’attraper quelque chose. Pourrait-il affronter, ne serait-ce que physiquement, la dureté ».
« d’une campagne ? », s’interroge le journaliste Étienne Girard. « Le radicalisé - Enquête sur Éric Zemmour. », en librairie depuis octobre dernier.
Eric Zemmour s’est inquiété lui—même à ce sujet et lors d’un déjeuner, il a sollicité les conseils d’Hugues Dewavrin, ex-cadre de l’UDF.
Ce dernier, un ami depuis plus de 35 ans, est aussi le patron du groupe de distribution alimentaire Pomona et 219e fortune de France.
Il ne l’a pas rassuré, et avait même tenté de le dissuader de se lancer dans cette aventure à très haut risque.
« Il te faudra des millions d’euros, cinq cents signatures, une armée pour ton service d’ordre, et ça va être une horreur pour ta famille. Tu devras éloigner tes enfants et toi, peut-être, déménager », lui a-t-il lancé.
Et à celui partagerait désormais la vie de Sarah Knafo de répondre : « Oui, c’est ce qu’on me dit ».
Pour le moment, il tient le coup !