La Star Academy, un rendez-vous télévisuel tant attendu, fait déjà couler beaucoup d’encre avant même d’avoir commencé sa nouvelle saison. Des détails sont révélés par le magazine Public. Michael Goldman, le directeur, serait mal à l’aise du départ du Yanis Marshall, qui était la grande star la précédente saison.
La tension est palpable, les critiques fusent, et les préoccupations du public seraient manifestées.
La raison de ce malaise qui plane sur le télé-crochet du TF1, tient en grande partie à l’éviction de Yanis Marshall, qui prenait la lumière et mettait de l’ambiance.
Alors que la production avait pris des précautions pour gérer ce départ délicat, Yanis Marshall n’a pas hésité à révéler que des manœuvres de communication l’avaient poussé à prétendre avoir des projets personnels.
En réalité, la panique au sein de la production serait survenue en raison des problèmes d’alcool du danseur et de ses sorties nocturnes avec d’anciens élèves du programme.
Ce mélange d’éléments aurait été jugé potentiellement dangereux. Et cela a incité la chaîne à le remplacer cette saison par la plus consensuelle Malika Benjelloun.
Néanmoins, la présentation de Malika Benjelloun sur le plateau de Quotidien a laissé transparaître la gêne du directeur du château. Michael Goldman a rapidement cherché à se dégager de toute responsabilité, déclarant que ce n’était pas sa décision. Pour le magazine Public, c’était un peu comme s’il regrettait le départ de Yanis Marshall.
Mais les critiques ne se limitent pas à cette seule décision. Pierre de Brauer, un autre enseignant, est également sous le feu des critiques, jugé transparent par de nombreux téléspectateurs.
Et l’intéressé reconnaît lui-même son malaise à prendre la parole devant des millions de personnes. Il devra pourtant surmonter cette appréhension, tout comme Adeline Toniutti, qui peinait à briller à l’ombre de Yanis Marshall.
« Bizarrement, personne ne semble regretter en revanche la pauvre Laure Balon, également évincée. L’ex-prof d’expression scénique réussit au moins ça : mettre enfin d’accord le public et la production », est-il commenté.