Le prince Albert et la princesse Charlène de Monaco ont été récemment photographiés en compagnie d’une autre femme lors d’un événement public de la "Fondation Princesse Charlène de Monaco". Et un geste a soulevé quelques réactions surprenantes.
Très protecteur de Charlène de Monaco, la mère de ses jumeaux, malgré des rumeurs récurrentes de crise conjugale, le prince Albert craindrait que sa chère et tendre soit entrée dans un « conflit », une guerre de succession qui ne la concernerait que peu. Un empoisonnement et des menaces de mort seraient à déplorer.
En plus de sa bataille contre une infection dans la zone ORL qu’elle aurait finalement réussie à terrasser grâce à une intervention délicate sous anesthésie générale, Charlène de Monaco a apporté son soutien à Misuzulu Zulu, le fils aîné de Goodwill Zwelithini, le roi des zoulous . Elle l’aurait reconnu comme roi, alors que la succession serait contestée. Ils ont pris la pose ensemble sur l’Instagram officiel de la princesse.
« Merci pour votre gentillesse et votre soutien », a écrit Charlène de Monaco en légende de la photo, avant d’ajouter une expression en zoulou où il est fait référence à cette succession.
« Bayede Nkosi », qui signifie selon le Daily Mail : « Salut au roi ».
Quelques jours plus tôt, l’ancienne nageuse a offert ses services de médiatrice afin de régler un différend au sein de la famille royale zouloue.
Amie personnelle de feu le roi Goodwill Zwelithini, l’épouse du prince Albert, avait assisté à ses funérailles sur leurs terres ancestrales à Nongoma.
Une intense guerre de succession a suivi la fin du règne de 50 ans de Goodwill, y compris des allégations de complots empoisonnés et un testament falsifié, entre les membres de la famille.
Misuzulu Zulu, le fils aîné du défunt leader, a été nommé héritier, mais certains membres de la famille ont rejeté sa prétention au trône. Cette histoire ne serait pas terminée.
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