Cela fait plusieurs semaines que ceux qui connaissent Charlène de Monaco, des sources intimes, ont pris la parole pour fait état de quelques zone d’ombre, et dévoiler quelques facettes de sa personnalité. Le Palais, en particulier, le prince Albert de Monaco, continue de son côté à garder le silence. Le flou entoure sa récente hospitalisation. Officiellement, elle est soignée pour épuisement moral et physique.
Charlène de Monaco est dépeinte comme une femme bien plus « iconoclaste » qu’on ne le pensait, « qui refuse catégoriquement de marcher dans les pas de Grace Kelly, ou de Kate Middleton », rapporte le magazine People Story, qui se base sur ne révélation du New York Post.
Pour Joel Stratte-McClure, spécialiste qui s’est confié au New York Times, Grace Kelly a aussi vécu une période « terrible durant l es premières années de son mariage, comparable à ce que traverse Charlène aujourd’hui ».
Des propos soulignés par un proche de la famille princière de Monaco. « Charlène a toujours eu soit un air de détachement total par rapport à ce qu’on pouvait penser d’elle, soit un masque de souffrance que rien ne pouvait illuminer. Elle a toujours été difficile à cerner, indéchiffrable, déclare-t-il. Elle n’était pas une femme trophée, comme on en croise souvent à Monaco. Elle n’était pas non plus une intrigante ».
Un magazine allemand, affirme que sa personnalité supposée complexe serait liée de sa naissance prématurée.
Les confidences de Michael Wittstock, le père de la princesse, qui alimentait la fragilité de son illustre fille, née prématurée, à 7 mois.
Sa fille avait souffert « de complications, dont le syndrome de détresse respiratoire », ainsi qu’une rétinopathie, une croissance anormale des vaisseaux sanguins de l’œil ».