Le 27 octobre, Le Monde a publié une enquête révélant une potentielle faille de sécurité impliquant les gardes du corps du président Emmanuel Macron.
Marine Le Pen s’est vue reprocher par Emmanuel Macron contre lequel elle débattait hier soir d’avoir ordonné les mises à l’écart d’Anne-Claire Coudray et de Léa Salamé pour le débat d’entre-deux-tours.
Le leader d’En Marche a reproché à sa rivale son récent veto destiné à écarter Anne-Claire Coudray et Léa Salamé du débat d’entre-deux-tours.
« C’est un journaliste que vous n’aviez peut-être pas choisi et que vous aviez laissé vous interroger librement » a dans un premier temps lancé Emmanuel Macron.
Et de continuer sur sa lancée une fois que la patronne du parti de l’extrême droite ait assuré « ne pas choisir » ses journalistes.
« Ce n’est pas moi qui ai récusé un journaliste pour ce débat », lance-t-il.
Sur Europe 1, quelques heures auparavant, Anne-Claire Coudray avait aussi réagi à son éviction.
Interrogée sur ce boycott du FN par Le Grand Direct des médias sur Europe 1, Anne-Claire Coudray a affirmé ne « pas être au courant », et ne « sait pas si la discussion à été jusqu’au véto ».
Il faut dire qu’en avril dernier, lors de la soirée électorale, diffusée sur TF1, Anne-Claire Coudra avait fait un joli lapsus en écorchant le nom de Marine Le Pen, qualifiée au second tour de l’élection présidentielle.
En évoquant la position de la candidate malheureuse Nathalie Arthaud, qui appelait à faire barrage au parti frontiste, la journaliste star de la première chaine s’était trompée dans le patronyme de Marine Pen.
Elle l’a baptisée « Marine Le Pète ». La journaliste s’était évidemment très vite reprise. Mais le mal était fait.
Les images de ce petit lapsus avaient été relayées par Télé-Star.
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