Le règlement de comptes judiciaire chez les Delon devra patienter ! Alors que les enfants de la légende Alain Delon étaient attendus au tribunal, leur confrontation a été remise à plus tard.
Selon les indiscrétions de Closer, c’est le clan d’Anouchka Delon qui a manœuvré pour obtenir ce report, en contestant ouvertement la présence de l’avocate d’Anthony Delon.
Pas question pour l’actrice de laisser ternir son image.
La bataille juridique tant attendue entre Anouchka, Anthony et Alain-Fabien Delon n’a pas eu lieu comme prévu le 10 avril.
L’audience au tribunal correctionnel de Paris, où Anouchka réclame 120 000 euros à ses frères pour avoir divulgué une conversation privée avec leur père sur les réseaux sociaux, est désormais fixée au 17 mars 2026.
Si les motifs de ce report sont restés un temps nébuleux,Closer,en kiosque ce vendredi 18 avril, lève le voile : ce sont bel et bien les avocats d’Anouchka Delon qui ont remporté cette première manche procédurale.
La raison ? Un potentiel conflit d’intérêts. Ils ont mis en cause la défense d’Anthony Delon, et plus particulièrement Me Laurence Bedossa, qu’ils considèrent comme « juge et partie ». Et pour cause : elle était l’avocate d’Alain Delonavant que la guerre familiale n’éclate.
« Laurence Bedossa avait affirmé qu’Anouchka voulait ramener son père en Suisse contre sa volonté », rappelle le magazine. L’avocate avait même écrit au procureur de Montargis afin de contester les conditions d’une expertise médicale réalisée alors qu’Alain Delon se trouvait seul avec sa fille à Douchy.
Dans une prise de parole auprès de C News, Me Bedossa n’avait pas mâché ses mots à l’égard d’Anouchka. « Elle a peur qu’il perde son statut de résident fiscal et, dans ce cas, qu’elle perde aussi les avantages liés à la succession", avait-elle déclaré.
Me Frank Berton, l’avocat d’Anouchka Delon, a saisi le Conseil de l’Ordre pour engager des poursuites contre Me Bedossa. Du côté des frères, le report du procès est perçu avec amertume.
« À l’image de cette procédure pitoyable », a dénoncé Me Florence Watrin, avocate d’Alain-Fabien Delon, qui a exprimé son espoir « qu’il ne s’agit pas d’une manœuvre dilatoire ».
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