L’avocat d’Alain Delon, épaulé dans sa démarche par le médecin de l’acteur, aurait transmis à la justice « mise en danger » suite à l’arrêt arrêt brutal de son traitement médical, rapporte Le Figaro. Ses fils, Alain-Fabien et Anthony sont visés.
La vie de leur illustre père serait en danger. Le conflit familial ne serait pas près de s’apaiser.
D’après une information révélée par Le Figaro, Me Christophe Ayela, l’avocat d’Alain Delon, aurait fait un « signalement pour mise en danger » au procureur de Montargis avec le soutien de son médecin, ce 9 janvier.
Et le but de sa démarche est de l’alerter sur « un arrêt brutal du traitement médical » et » »une absence de continuité des soins en France ». Ces soins dont la nature n’est pas précisée sont vitaux pour le monstre sacré du cinéma.
Anthony et Alain-Fabien Delon sont accusés d’avoir mis en danger leur père, qui serait déjà très fragilisé.
Dans cette « lettre alarmante » , il leur est reproché de prendre « le risque de causer le décès prématuré de Monsieur Alain Delon, par un arrêt des soins et du suivi médical, sous divers prétextes et motifs aucunement justifiés », alors qu’il devrait être « régulièrement suivi pour de nombreuses pathologies qui nécessitent des examens, des soins et des contrôles réguliers ».
L’importance de « procéder urgemment à un bilan de santé complet et statuer sur la reprise du traitement », est rappelé dans ce document relayé par Le Figaro qui cite par ailleurs des propos qu’Anouchka Delon inquiète.
« contre l’avis de son père et le sien, Anthony et Alain-Fabien Delon ont en effet décidé de stopper brutalement, sans aucune reprise de soins en France, le protocole médical de traitement et de check-up réguliers », est-il indiqué.
Le SMS de l’actrice est dévoilé par Le Figaro.
« On en rediscutera avec papa. On n’arrête pas comme ça contre avis médical. J’apprécierais qu’on m’écoute là-dessus. C’est pas un Doliprane qu’on arrête comme ça », aurait-elle écrit.
La fille d’Alain Delon aurait affirmé à son frère que leur père « ne veut pas arrêter les médicaments et mourir », alors qu’il aurait répondu, « Non, il a dit qu’il voulait mourir, parle à Alf [Alain-Fabien, ndlr] ».
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